Aux deux saisons des pluies (printemps et automne), les rivières du Limousin et particulièrement le Taurion et la Vienne en amont du pont Saint-Étienne se couvraient de bûches pour alimenter notre ville en bois de construction et surtout de chauffage. Un trafic immémorial qui faisait vivre le quartier du Naveix et auquel mit brutalement fin le chemin de fer.