S’il a été informé de difficultés relationnelles entre deux élus depuis plusieurs mois, il dément catégoriquement toute mise à l’écart ou action visant à empêcher la mission d’une élue au sein de la collectivité.
Ni le maire ni la direction des ressources humaines n’ont eu connaissance d’une plainte déposée par un agent de la Ville. Le maire a demandé à la direction des ressources humaines de prévoir tout accompagnement nécessaire à l’exercice des procédures de défense
juridictionnelle le cas échéant et comme il est d’usage.
Par ailleurs, aucune demande de protection fonctionnelle n’a été formulée ni par une élue ni par un agent de la Ville à ce jour. L’annulation du conseil municipal du 13 février, dont la date avait été rajoutée au calendrier en prévision d’un éventuel surplus de dossiers, est devenue évidente car seulement une dizaine de délibérations non urgentes ont été recensées fin janvier. De telles affirmations dans cet article de presse qui insinuent que la municipalité pourrait entraver le cours normal de la justice ne sont pas tolérables.